Pour l’UFMP, la communication occupe une place stratégique dans la lutte contre toutes les formes de violences, en particulier celles qui touchent les femmes, les enfants et les groupes vulnérables. « Notre détermination est d’utiliser la communication comme outil de sensibilisation et d’éducation à la non-violence », souligne l’organisation.

Au-delà de cet engagement, l’Union des Femmes des Médias pour la Paix insiste sur son rôle de vigie et de relais social en dénonçant les violences, en renforçant la solidarité entre communautés et en contribuant à bâtir un avenir apaisé, juste et équitable.

La Coordinatrice de l’UFMP, Joséphine Mungubi, a déclaré que cette journée, instituée en hommage à l’héritage de Mahatma Gandhi, doit interpeller toutes les composantes de la société. Elle appelle ainsi les autorités locales, les leaders communautaires et religieux, la société civile ainsi que la population à « faire de la non-violence non seulement un idéal, mais une pratique quotidienne dans les familles, les écoles, les institutions et les médias ».

Pour l’UFMP, la paix commence par la parole, et la communication demeure le meilleur levier pour promouvoir un vivre-ensemble harmonieux fondé sur la non-violence.

La Rédaction d’AVERTICOM.